Dans ton monde

Citation :: Chapitre 1 - La frontière.

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Nom : Rusty.
Date : Samedi 12 avril.
Heure : 11 h 40.
Monde : Monde des animaux.
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Cette lumière... Je l'ai déjà vue, j'en suis sûr. Hmmm... Il n'y a qu'une seule solution, ouvrir les yeux. C'est d'ailleurs ce que je fais. Je suis dans une clairière inondée de soleil. Ça explique la lumière. Mais où suis-je ? Je regarde plus attentivement autour de moi. Il y a une petite cascade. Étrangement, elle ne fait aucun bruit. Elle n'était pas là il y a deux minutes, j'en suis certain. Il y a aussi des énormes rochers moussus. C'est drôlement joli, ici.
- Joliflor.
Hein ? Quoi ? Quelqu'un a parlé ? Je regarde autour de moi. Rien. Bizarre...
- Joliflor !
Quelqu'un a parlé, j'en suis persuadé. Mais qui ?
- JOLIFLOR !
- Qui... Qui est là ?
Une créature étrange est apparue mystérieusement devant moi. Je ne la vois qu'à contre-jour, à cause de la lumière. Cette lumière...

- Regarde maman, il se réveille !
Alicia, ma jeune maîtresse, est accroupie devant moi. Je suis dans mon salon. Je n'y étais pas il y a deux minutes. J'étais... J'étais où ? Je ne me souviens plus. Peu importe, ce n'était sûrement qu'un rêve.
- Tu veux jouer à la ficelle, Rusty ?
Elle agite une ficelle devant mon nez : encore ce jeu idiot ! Bon, allez, jouons le jeu : et vas-y que j'attrape la ficelle, et vas-y que je la mords, et vas-y qu'elle s'échappe mystérieusement, et vas-y que je la rattrape,...
- Alicia, ce n'est pas l'heure de jouer, tu as ton cours de piano ! l'interrompt sa mère.
- Bon, allez, on arrête, Rusty ! À tout à l'heure ! crie-t-elle en quittant la pièce. Le soleil réchauffe la moquette couleur crème qui tapisse le sol. Je m'étire et m'allonge sur la moquette toute chaude. Quel bonheur...
- Rusty, viens manger, ta pâtée est servie ! crie la mère d'Alicia.
Je pénètre dans la cuisine au sol carrelé où m'attend un bol de pâtée pour chats. Je la renifle. Poulet et haricots verts. J'irai manger quelques souris dans le jardin pour compenser. La femme est toujours là. Je mange, pour lui faire plaisir, mais j'arrête dès qu'elle quitte la pièce. Je retournerais bien me prélasser au soleil, moi... Mais, au moment même où je pénètre dans le salon, j'entends un bruit assourdissant et abominable : l'aspirateur. N'ayant nulle envie de devenir sourd, d'être aspiré, où même de devenir sourd puis d'être aspiré, je quitte la pièce. Et si j'allais écouter Alicia jouer du piano, en haut ? Si, au début, c'était un véritable massacre pour les oreilles, elle joue à présent suffisamment bien pour que j'aille l'écouter. J'arrive dans la chambre de la jeune maîtresse. Comme prévu, elle y prend ses cours de piano. Elle joue justement mon morceau préféré : Clair de lune, de je ne sais plus qui. Je m'assieds pour écouter. Dommage, je suis arrivé pour la fin du morceau.
- Miaaaou ! ( Bravo ! )
- Ah ! Rusty, tu étais là ! Allez, sors, tu me déconcentres !
Quel accueil ! Puisque c'est comme ça, je m'en vais ! Voyons... Quel jour sommes nous ? Alicia a ses cours de piano les mercredis et les samedis. Y a-t-il eu beaucoup d'écart entre cette leçon-ci et la précédente ? Non ! Nous sommes donc samedi, et le père est à la maison ! Il doit être dans le deuxième salon, à lire son journal. C'est en effet là que je le trouve. Je me frotte à ses jambes.
- Miaaaou ? ( Excusez-moi, monsieur, pouvez-vous, s'il vous plaît, m'ouvrir la porte ? )
Apparemment, il comprend, puisqu'il se dirige vers l'immense baie vitrée et va me l'ouvrir.
- Vas-y, tu peux sortir ! me dit-il.
Je pénètre dans le jardin. Il y fait plus chaud que dans le manoir. Le Chéba poulet-haricots verts m'a laissé sur ma faim. Je vais me dénicher une où deux petites souris et me prélasser au soleil. Une vraie vie de chat ! Je sens l'odeur d'une souris. Mais dans l'immense parc, difficile de la trouver ! Je vais plutôt aller dans le petit bois qui est la propriété de mes maîtres. En y arrivant, j'ai comme une impression de... déjà vu. Enfin, bon, peu importe ! L'alléchante odeur de la souris parvient jusqu'à mes narines. Et je l'aperçois. Elle est juste là, devant moi, et semble ne pas m'avoir remarqué. Je me tapis, prêt à bondir sur ma proie. Un CRAC sonore retentit. La souris s'enfuit. Je regarde en face de moi. Une énorme souris jaune se tient devant moi ! J'aimerais fuir, mais je suis paralysé de peur.
- Pikachu ?
Quoi ? Cette créature parle comme les humains ? Mais... Que veut dire " Picatchou " ? Sans essayer d'en savoir plus, je continue mon chemin en quête d'une autre proie.

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Nom : Foudre.
Date : Samedi 12 avril.
Heure : 13h45
Monde : Monde des pokémons
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- Bon... ben, salut Foudre !
Je regarde mon amie entrer dans sa maison.
- Ouais, salut !
Et elle me plante là, devant la porte. Par une aussi belle journée, je n'ai pas très envie de retourner tout de suite chez mon dresseur. En même temps, la chaleur est étouffante, et je ne peux pas flâner en ville. Je vais aller dans la forêt. L'ombre des arbres fait que cet endroit est chaud en hiver et frais en été. C'est mon petit coin de paradis. C'est d'ailleurs là que je suis née et que j'ai été capturée.
Arrivée là-bas, j'irai à mon endroit préféré : un mini lac, où j'aime me baigner où m'allonger sur l'herbe pour rêvasser. Je suis d'ailleurs une experte en matière de rêvasserie. Si on organisait des concours de rêvasserie, je les gagnerais sûrement. Tout en pensant cela, je me fraye un chemin parmi les fougères, et arrive dans mon petit paradis à moi. Des magiparpes et des poissirènes y font un concours de saut.
- Hé, salut Foudre ! Tu veux bien être notre juge ? me demande Aurélien, un magicarpe.
- Bien sûr !
Je les regarde faire leurs bonds impressionnants. Le plus fantastique de tous est sans doute celui de Lorène, la poissirène. Triple saut périlleux accompagné d'éclaboussures d'eau qui scintillaient magnifiquement au soleil. Je regarde les autres sauts. Aucun ne m'impressionne particulièrement.
- La gagnante est Lorène ! annoncé-je à la fin du concours.
Puis je m'allonge dans l'herbe pour regarder les nuages.
- Tiens, celui-là ressemble à un Oursaring. Quelle magnifique journée...

Je me réveille. Il fait sombre.
- Houlà ! J'ai dû m'endormir ! Mon dresseur doit s'inquiéter !
Je me lève précipitamment. Un peu trop, même, puisque je tombe dans la mare. Je suis pleine de boue... Beurk ! Les poissons éclatent de rire. Je me secoue. Ça leur renvoie toute la boue à la figure. Bien fait pour eux ! Je sors de la clairière. Il fait maintenant très sombre... Je n'étais jamais restée si longtemps ici. Dans le noir, je ne reconnais plus rien. J'avance au hasard. Des odeurs intriguantes me titillent. D'où viennent-elles ? Je me dirige vers leur source. Quelles drôles d'odeurs ! Je n'avais jamais senti ça ici ! J'arrive devant une drôle de petite bête. Elle a une longue queue, comme un Raichu, mais sans éclair au bout. Oui, en fait, elle ressemble beaucoup à raichu, mais en gris. Et en dix fois plus petit. Mais il n'y a pas qu'elle qui dégage ces odeurs. Je m'approche un peu plus. Je fais craquer une branche. La petite bête s'enfuit. Une autre créature m'aperçoit. On dirait un chaglam. Où alors un persian. Un peu des deux, en fait. Elle me dévisage
- Eh ben, qu'est-ce que t'as ?
La créature a l'air encore plus effrayée de m'entendre parler. Elle s'enfuit.
- Hé, attends, je ne voulais pas t'effrayer ! lui crié-je.
Maintenant, il fait très sombre. Je dois continuer d'avancer.

Citation :: Chapitre 2 - Coincés !

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Nom : Rusty.
Date : Dimanche 13 avril.
Heure : 7h34.
Monde : Monde des pokémons.
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Je me réveille. Brrrr... Quel froid ! La forêt, ce n'est vraiment pas confortable, comparé au manoir ! Je ne comprends toujours pas comment j'ai pu me perdre dans le bois privé de mes maîtres. Je pensais pourtant le connaître par coeur... Et voilà qu'hier, je découvre une autre moitié de la forêt. Étrangement, la végétation n'y est pas la même. Les animaux non plus. Hier, ayant terriblement faim - Je n'avais pas eu mon Cheba du soir - j'ai entrepris de chasser. Et je suis tombé sur une énorme souris violette, avec des grandes dents. Elle faisait " Rattatatatatatatataaa ! ". J'ai maintenant très faim. Je dois à tout prix trouver un moyen de rentrer au manoir. J'ai trouvé ! Il me suffit de suivre mon odeur ! Que je suis bête ! Pourquoi n'y ai-je pas pensé plus tôt ? Mes traces sont encore toutes fraîches. Il me sera facile de les suivre, moi, Rusty Dugrandluxe, troisième du nom ! Pendant que je suis mes traces, je sens l'espoir monter en moi : je vais rentre au manoir ! Les maîtres doivent être fous d'inquiétude ! Ils seront très contents de me retrouver. Peut-être même assez pour me donner une dose de Cheba ! Sur cette pensée joyeuse, je continue mon chemin. Soudain, mon odeur disparaît. C'est comme si j'étais tombé de nulle part. De plus, la forêt ne change pas du tout, la végétation y est la même. Voilà qui est bien étrange... Mon estomac gargouille. Houla ! Si ça continue, je vais bientôt mourir de faim ! Je m'assieds pour faire le point : Hier, j'ai découvert une nouvelle partie de la forêt. La végétation n'y est pas la même. Ce matin, mes traces s'arrêtent soudainement à l'endroit où la végétation a changé hier. Mmmm... Même si ça paraît impossible, je crois que je ne suis plus dans le bois de mes maîtres. Mais... où suis-je alors ? Pour en avoir le coeur net, il faut que je sorte. Normalement, en allant toujours dans la même direction, je finirai bien par sortir. Je reviens sur mes pas.
- Foudre ! Foudre, où es-tu ? Foouhoudre ?
Des cris humains ! Il y a un humain dans les parages ! Me voilà sauvé ! Les pauvres, c'est bien connu, ne peuvent pas acheter de chats. Alors, ils adoptent ceux qui ont été abandonnés où qui se sont perdus. Ca tombe, bien, je me suis perdu ! Bon, je porterai sans doute un nouveau nom ridicule, je ne mangerai pas à ma faim, mais je crois que je m'y ferai !
- Foudre ! Réponds-moi, s'il te plaît !
Je me dirige vers la voix. Je traverse un buisson de fougères avant de le voir. Il porte des vêtements de pauvres et a les cheveux de la même couleur que le ciel. Ça n'est pas très courant ! Il se tourne dans ma direction.
- Foudre ? Oh, non, ce n'est pas Foudre. Foouhoudre ? Où es-tu ? Ma petite Foudrounette ?
Cet humain m'a à peine remarqué ! Quel culot ! Je me frotte à ses jambes.
- Miaaaou ! ( Pardonnez-moi, Monsieur, je me suis égaré. Auriez-vous l'amabilité de me recueillir chez vous ? )
- Oh, quel drôle de pokémon ! fait l'adolescent. Voyons ce que dit le pokédex...
Il sortit de sa poche une drôle de machine rouge. Avec une agaçante voix électronique, elle dit :
- Données inconnues.
- On ne sait rien sur toi, hein ? reprit le jeune homme. Tu dois être super-rare !
Il s'accroupit devant moi.
- Tu veux que je t'adopte ?
- Miaaou ! ( Volontiers ! )
- Parfait. Pokéball, go !
Sur ces paroles étranges, il me lance une balle. Elle est rouge et blanche. Au moment où je m'apprête à la lui renvoyer, pour l'amuser - les humains adorent jouer à la balle ! - elle s'arrête, suspendue dans les airs. Intrigué, je penche la tête. Soudain, elle s'ouvre en deux et me transforme en rayon. Et puis je redeviens moi. J'ai considérablement rétréci, et je suis dans la balle !

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Nom : Foudre.
Date : Dimanche 13 avril.
Heure : 8h16
Monde : Monde des animaux.
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Whaaa ! J'ai bien dormi ! Ca faisait longtemps que je n'avais pas dormi dans la forêt. Maintenant qu'il fait jour, je vais pouvoir rentrer facilement chez mon dresseur. Pourtant, je ne reconnais pas cet endroit. Bizarre... Les odeurs et la végétation ont changé. Je sais ! Je vais suivre ma trace pour aller jusqu'à un endroit connu ! De là, je rentrerai facilement à la maison. Je renifle, j'avance, je renifle, j'avance, je renifle... Plus rien ! Mon odeur s'arrête là, comme si j'étais tombé là de nulle part. Comment est-ce possible ? Je ne reconnais toujours pas la forêt... Étrange... Je pensais pourtant la connaître sur le bout des griffes ! Je ne sais pas comment, mais j'ai atterri dans une forêt qui n'est pas la mienne. Je ne vois pas d'autre explication possible ! Peut-être que je rêve encore ? Aïe ! Non, je suis bien réveillée ! Je dois trouver un moyen de sortir de cette forêt. Je trouverai bien un centre pokémon où je pourrai attendre mon dresseur tranquillement. En allant toujours tout droit, je devrais en sortir. Je marche, je marche... Ouille ! Un grillage ! Je me suis cognée contre un grillage ! Bon, pour sortir, il n'y pas trente-six mille solutions : tunnel ! Je creuse comme je sais si bien le faire. Ca y est, me voilà dehors. Je suis sur une colline. En bas, j'aperçois un village. Je ne vois pas de toit rouge. Bizarre... Je pensais qu'il y avait toujours un centre pokémon dans chaque ville. Peut-être qu'il n'a pas de toit rouge ! Je descends de la colline.
- Grrrr... Ouaf ! Ouaf !
Un pokémon étrange me court après.
- Hééé ! Calmos !
Le pokémon ressemble à un caninos. Un gros caninos, tout brun. Je dois avoir atterri dans une nouvelle région, il y plein d'espèces bizarres, ici... En plus, je ne comprends même pas ce qu'ils disent ! Je me demande s’ils peuvent me comprendre... Je m'aperçois que le pokémon ne me poursuit plus. Je regarde derrière moi.
- Grrr... Ouaf ! Ouaf ouaf ouaf ! Ouaf !
Il est retenu par une chaîne. Pour descendre, il me suffit de rester hors de portée de sa chaîne ! Je continue mon chemin, rassurée.
- Ouaf ! Ouaf ! Grrr... Ouaf !
- Tu peux aboyer, mon toutou ! Je m'en fiche ! Le nargué-je.
Si j'avais su, ce qui allait m'arriver, j'aurais appelé le livre des records pour me faire enregistrer comme la pikachu la plus rapide du monde. Seulement, je ne savais pas que le ouaf - apparemment, c'est comme ça qu'il s'appelle - allait arracher sa chaîne. J'ai battu le record de dévalage de colline, pour ce coup si !
- Waaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
J'arrive en courant dans une rue. Elle est vide. Sauf un petit garçon, qui joue au ballon.
- Oh, un pikachu ! fait-il en me voyant.
- Pikachu ! ( UNE pikachu, s'il te plaît ! )
- T'as une voix de fille. Maman ! crie-t-il en entrant dans la maison qui semble être la sienne. Y a un pikachu fille dans la rue !
- Jimmy, répond une voix. Tu as trop regardé les pokémons ! Tu sais bien que les pikachus n'existent pas !
- Celui-là, il existe ! répond le dénommé Jimmy.
- Jimmy, tu ne regarderas plus ces imbécillités.
- Viens voir !
- Jimmy, je fais mon repassage. !
- Allez, viens !
- JIMMY, CESSE CECI IMMÉDIATEMENT !
- Mais maman...
- J'AI DIT : IMMÉDIATEMENT !
- Puisque c'est comme ça, je te l'amène !
- Soit, Jimmy, soit !
- Allez, me dit Jimmy. Viens petite pikachu. Je vais te montrer à ma maman.
Je le suis. Je ne comprends pas comment on peut croire que je n'existe pas ! Je n'ai jamais entendu de bêtises pareilles ! Les pikachus, ne pas exister ! Toujours derrière le petit, je monte un escalier. Il m'amène dans une petite pièce où une femme repasse des vêtements.
- Tu vois maman, elle existe ! fait Jimmy.
La femme, qui jusqu'ici ne nous avait pas adressé un regard, tourne la tête.
- Jimmy, tu me déranges ! Oh ! Un... Un... Un pi... Un pipi...
- Pikachu ! ( Alors comme ça, je n'existe pas, hein ? )
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa ( Trois heures plus tard... ) aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !!!
La femme s'évanouit.
- Maman ! s'écrie Jimmy. C'est de faute ! me dit-il. Sors d'ici tout de suite !
- Pik... ( Mais... )
- TOUT DE SUITE !
Je m'enfuis sans demander mon reste. Quelle drôle de famille !
Je vais chercher un centre pokémon.

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